C'est vrai que c'est la fête nationale en Suisse ! J'ai eu l'occasion d'y assister il y a 2 ans, à Berne.

Bon 1er août !

Superbe image et joyeux Premier Août :-)

Le plus beau pays du monde.

http://www.admin.ch/org/polit/00055/index.html?lang=fr

Quel beau pays la Suisse ! Dommage qu'il se soit fait auto-colonisé par les "socialo-verts" ! Son avenir est fortement compromis, il aura le même destin que le reste de l'europe "décadente" par sa lacheté déguisée derrière la laicité et la tolérance ! Amen.

Si vous voulez voir quelques images de la fête du 1e août au Grütli, vous en trouverez 22 sur mon blog:

http://phkuendig.over-blog.com/album-372538.html

Sinon: lien à partir de la page d'accueil de mon site www.kundig.org (Mon Blog)

Meilleures salutations.

"Dommage qu'il se soit fait auto-colonisé par les "socialo-verts" !"

Oui, la prairie du Grütli, achetée par deux industriels pour le premier août, et remplie de féministes, de socialistes, de congolais clandestins, de bobos à sandales, avec de ci de là quelques radicaux hors-sol donnant la main à deux-trois démocrates-crétins. Bref, la quintessence de l'anti-nation, les "Heimat-müde" singeant pittoyablement le patriotisme.

P.S: Tiens, on parle de la Suisse sur Amren:

http://www.amren.com/mtnews/archives/2007/08/swiss_president.php

Tiens, un peu de Soljenitzin qui explique parfaitement l'alliance entre l'industriel transnational Hayek et la social-globaliste Calmy-Rey:

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La grande finance préfère avoir affaire à des Etats centralisés. La communauté des banquiers souhaite moins que tout une économie libre et un pouvoir décentralisé » - bien au contraire : « La révolution et la finance internationale ne se contredisent nullement dès lors que la révolution fait advenir un pouvoir centralisé » qui « rend les marchés aisément contrôlables ». Autre point de convergence : « Les bolcheviks et les banquiers ont une plateforme commune - l'internationalisme ».
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C'est la raison pour laquelle, par exemple, le patronat , en France , n'a pas besoin de parti politique proprement libéral.
Les troskistes immigrationnistes suffisent amplement.

C'est aussi pourquoi les Calmy-Rey et consors ont besoin de l'immigration: pour remplacer les suffrages perdus des classes ouvrières trahies par et pour le mondialisme.

Les trotskystes, au moins, ont compris la différence radicale qui existe entre l'ambition d'imposer un gouvernement mondial et la liberté des échanges. Le gouvernement mondial qu'ils appellent de leurs voeux aspire à rançonner les échanges et à ne les autoriser qu'à leurs conditions.
En revanche, ceux qui ne veulent ni payer de rançon ni demander la permission à des prédateurs pour accomplir des actes capitalistes entre adultes consentants prônent la concurrence entre les états : ils défendent le Droit qu'ont les Suisses de décider de leurs propres lois, les Droits des cantons ainsi que ceux des communes :

http://www.institutconstant.ch/paper.php?id=49
Le cartel fiscal européen et le rôle de la Suisse

L'étude très attendue sur les dangers d'une cartellisation des fiscalités en Europe.
La centralisation fiscale au niveau de l'UE progresse de façon plus nette qu'il n'est généralement perçu. L'UE use en outre de concepts hasardeux tels que la « concurrence fiscale dommageable » ou les « aides d'État à caractère fiscal » pour attaquer les régimes fiscaux moins pénalisants, comme dans le cas du différend qui l'oppose à la Suisse.

Les arguments en faveur de l'uniformisation fiscale reposent en général sur une conception erronée du fonctionnement des marchés et ignorent les effets négatifs du poids fiscal de l'État et le rôle de la planification fiscale dans l'allocation internationale du capital. La concurrence fiscale est une condition indispensable de l'innovation institutionnelle des États en permettant des comparaisons entre les juridictions et l'imitation des meilleures pratiques. La diversité fiscale est enfin un rempart indispensable pour les libertés et les droits légitimes des individus en limitant le potentiel d'abus du monopole de la force intrinsèque à l'État en facilitant le « vote avec les pieds ».

Face aux dangers impliqués par une cartellisation des fiscalités en Europe, la Suisse continue de jouer un rôle essentiel. La dissidence éclairée de la Suisse contribue de façon sensible à la préservation et à l'augmentation de capital productif dans le respect des choix et des droits individuels, dans l'intérêt bien compris de tous les Européens et de l'avenir de l'Europe.

Lire l'étude: Le cartel fiscal européen et le rôle de la Suisse (26 pages, PDF)http://www.institutconstant.ch/pdf/IC-Cartel_fiscal.pdf

Deutsche Fassung: Das europäische Steuerkartell und die Rolle der Schweiz (27 Seiten, PDF) http://www.institutconstant.ch/pdf/IC-Steuerkartell.pdf

English version: The European Tax Cartel and Switzerland's Role (26 pages, PDF) http://www.institutconstant.ch/pdf/IC-Tax_Cartel.pdf